#6 La polyvalence (1/2)
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« Nous vivons à une époque où nous touchons plus souvent du plastique que nous ne touchons ceux que nous aimons »
- Avant-propos de l’Atlas du Plastique (2020)
Le plastique est difficile à définir tant il présente des formes différentes. On peut le trouver en tant que tissus, mousse, élastique, vernis, tube, plaque, aérosol, film… Pourtant, tout le monde semble parfaitement le connaître. Il est partout dans notre quotidien. C’est à se demander à quel moment ça a basculé. À quel moment on la rendu indispensable ?
Cette première partie s’attachera davantage à brosser un portrait historique. Nous verrons quelles sont les étapes majeures de sa généralisation. Le but est surtout de comprendre quelle est la dimension culturelle de la matière plastique.
Ainsi, nous pourrons nous pencher plus précisément sur son rapport avec l’architecture, dans un second temps.
Des expériences hasardeuses et fortuites
Le plastique est une matière beaucoup plus ancienne qu’il n’y parait. Mais, commençons par l’essentiel. Qu’est-ce que le plastique ? Il fait partie des matières polymères. Celles-ci « sont décrit(e)s comme des macro ou de très larges molécules résultantes de l’addition de monomères en de longues chaînes. » (1) Elles sont essentiellement composées de carbone et d’hydrogène. Il en existe tout un éventail avec des caractéristiques et des origines différentes. Bien que nous associons les polymères à des ressources fossiles, les premières matières de leur type sont recensées depuis bien longtemps dans notre environnement. « Les polymères naturels ont pour origine la matière vivante (bois, cuir, coton, soie, laine). Citons la cellulose, les protéines, l’ARN et l’ADN. » (4)
Nous pouvons également parler de l’ambre qui correspond à une résine de pin fossilisée. Cette matière est exploitée depuis l’Antiquité, sur les bords de la mer Baltique. D’autres matériaux, comme la corne, le shellac, la laque, l’écaille de tortue ou encore le gutta percha, sont utilisés pour la réalisation d’objets manufacturés. On les retrouve sur des boîtes de cigares comme sur l’ornementation de meubles. Ces plastiques sont associés à un savoir-faire artisanal d’excellence et une classe très aisée de la société. Ils sont coûteux car rare et difficile à extraire (2).
Objets manufacturés en ambre et écaille de tortue, XVIIe et XVIIIe siècle - © Voûte Verte de Dresde - © anticstore.com
Avec le développement de la chimie moderne, au XIXème siècle, les plastiques semi-synthétiques ou artificiels font leur apparition. « Les polymères artificiels résultent de la modification chimique effectuée par l’Homme de macromolécules naturelles sans altération profonde de la structure du squelette. Par exemple, les groupements fonctionnels OH de la cellulose peuvent être modifiés pour obtenir différents produits aux propriétés variées. Ainsi, la cellulose nitrosée forme suivant le taux de nitrosation des matières plastiques, des peintures, des vernis ou des explosifs.» (4) La matière première est naturelle, mais le procédé chimique mène à ces nouveaux matériaux artificiels. Leur avantage : l’utilisation de matières premières plus accessibles donc moins coûteuses que les polymères naturels. L’ancêtre du plastique moderne peut être vu comme le caoutchouc vulcanisé, par Charles Goodyear, en 1839, sur une base de souffre et de latex. L’année suivante, Alexander Parkes tente une expérience à partir de cellulose, fibre de bois ou coton avec acide citrique et sulfurique et obtient la Parkésine. Elle trouve un intérêt dans le remplacement des matières nobles citées précédemment (ambre, écaille de tortue…). Il est intéressant de noter la découverte de la Caséine, en 1897, à base de protéines de lait (2). Cette dernière est encore explorée aujourd’hui, en tant que bio-polymère. Comme vous l’avez compris, les expériences sont florissantes mais néanmoins hasardeuses et restreintes au monde du laboratoire. Elles ne vont pas s’aventurer au-delà de la paillasse du chimiste. Leurs contraintes techniques ne leur permettent pas d’être appliquées au cadre d’une éventuelle industrialisation. Finalement, un nouveau changement de paradigme se produit, en 1907. Léo Bakeland crée la Bakélite, une résine phénolique. On lui découvre la propriété d’être un isolant électrique, ce qui reste, jusqu’à aujourd’hui, un des avantages du plastique. Cela intéressera l’industrie des télécommunications. On trouvera donc des téléphones, mais aussi des appareils photo, voire même des appareils ménagers en Bakélite à partir de 1920 (2). De plus, la mise en oeuvre par moulage sous pression offre à la Bakélite un rendu lisse. Jusqu’ici, le moulage s’opérait à la fonderie au sable. La surface des objets étaient donc communément rugueuse (3). La Bakélite apporte ainsi un nouveau pas dans l’histoire des plastiques. Seulement, la première guerre mondiale ébranle le monde entier et toutes ses avancées technologiques. Le potentiel de la matière plastique devient alors la dernière des préoccupations de tout un chacun.
Le 11 novembre 1918, le monde se remet à souffler. Chaque pays fait le lourd bilan et décide de prendre les devants, forts des pesants apprentissages de ces dernières années. Les secteurs militaires et de l’aéronautique ont particulièrement soif d’innovation pour se parer à un éventuel nouveau déluge. C’est donc ces volontés politiques et économiques qui vont dépoussiérer le projet oublié des plastiques par les usines, qui reprennent peu à peu leurs esprits. Un intérêt grandissant va s’affirmer pour le plastique. Deux industries I-G Farben (Allemagne) et Du Pont de Nemours (États-unis) se font la guerre à coup de brevets pour atteindre un matériau qui répond à des exigences toujours plus précises (3). Et rapidement, un nouveau conflit mondial éclate. Les États-Unis décident de développer leur industrie pour affirmer leur indépendance et ne pas être tributaire des importations étrangères. Nous pouvons prendre l’exemple de la résine de polyamide, dans une certaine mesure. Plus connu sous l’appellation de Nylon, ce tissu synthétique est commercialisé en 1942, dans le but de trouver un substitut aux fibres naturelles, en pénurie. Ce dérivé du charbon permettra la production des parachutes de l’armée américaine (2). De l’autre côté du globe, l’armée allemande équipe les cockpits de ses escadrilles en Plexiglas. Sa résistance aux chocs est, en effet, plus importante que le verre (3). Ces deux conflits mondiaux sont donc des évènements déterminants dans l’application du plastique à l’échelle industrielle, destinées à des secteurs spécifiques comme le domaine militaire et de l’aéronautique.
Un monde qui reprend ses esprits
Finalement, le monde s’apaise et constate les dégâts de deux conflits successifs. Il faut reconstruire les foyers des familles démunies. Les sociétés reprennent peu à peu leurs esprits et se mettent en branle pour restaurer ce paysage décimé. Il faut faire vite, beaucoup et pas cher. Dans cet objectif, l’industrialisation paraît comme la meilleure approche. Le logement est considéré comme un produit de première nécessité. Le modèle fordien bien huilé contribuera à cette lourde entreprise. On met au point un standard selon un cahier des charges qui certifie sa qualité. Puis, on le réplique inlassablement de façon à rentabiliser les moyens mis en place et garantit un prix à la baisse. Le plastique saura s’immiscer sans problème dans ce nouveau contexte. Sa capacité à être industrialisé est à ce moment-là bien connu.
L’entre-deux-guerres a déjà été l’occasion d’expérimenter un habitat nouvelle génération, voué à être dupliqué. L’architecte Jean Prouvé a mis au point, dès 1936, un mur-rideau préfabriqué, facile à transporter et assembler, pour répondre aux premières applications d’habitat d’urgence. Son engagement reprend de plus belle à la fin de la Seconde Guerre Mondiale. « La maison des jours meilleurs » est réalisée en 1954 suite à la demande de l’Abbé Pierre pour venir aux personnes sans-abris.
La maison des jours meilleurs de Jean Prouvé, Paris (1956) - © metalocus.es
Peu à peu, les contributions du plastique vont s’étendre au-delà des applications à l’habitat d’urgence, à partir des années 1960. Les usages du plastique se multiplient dans le domaine de la construction. Nous les détaillerons davantage au cours de la seconde partie de cet article. L’architecte Jean Manneval est un des contributeurs de cette nouvelle ère du logement. Il se félicite que les producteurs et transformateurs de plastiques oeuvre à l’amélioration du bâtiment conventionnel, en concurrençant des matériaux traditionnels et en créant des nouveaux emplois (sols plastiques et films protecteurs, par exemple). Mais, selon lui, cela n’a pas aidé à augmenter la qualité de vie des habitants. Ces améliorations se sont figées sur des modèles d’habitat traditionnels (5). Roger Tallon étaye ce sentiment frustré que partage la profession.
« - Quand on lit plastique, on pense surtout objets, mais peut-on étendre son emploi à des cellules individuelles, en architecture par exemple ?
- On peut rêver là-dessus, mais les expériences sont loin d’être des expériences industrielles, c’est encore trop expérimental. Il faut bien dire que la production va là où le marché le permet, aujourd’hui c’est toujours l’automobile qui donne le niveau valable. Dans l’hôtellerie, il y a quelques tentatives intéressantes, au Japon, notamment, mais pas concluantes. Même au niveau du sanitaire et de la cuisine, c’est un demi échec. Il y a un blocage économique et un blocage à la mise en oeuvre et surtout, les gens ne sont pas prêts à habiter dans « autre chose » que ce qu’ils connaissent, surtout en France. »
- Roger Tallon, designer (3)
Différentes expositions à travers le monde seront néanmoins l’occasion de présenter ses habitats d’un caractère nouveau et audacieux. Certes, loin de conquérir le marché du logement, ces expérimentations seront le moyen des industriels de promouvoir leur expertise. Les propositions foisonnent mais nous pouvons citer deux cas qui apparaissent le plus souvent :
« Maison tout-en plastique » de Ionel Schein, Yves Magnant et R.A. Coulon, en collaboration avec Gaz de France et l’industrie chimique française. Présentée à l’occasion du salon des Arts et Métiers de Paris, en 1956, elle est considérée comme la première maison construite tout en plastique : meubles et tapis en vinyle, Textiles vinyle et nylons, panneaux de portes et éviers en mélaminé (1) ;
« Monsanto, house of future » de l’artiste Richard Hamilton et des ingénieurs en structure, Marvin Goody (MIT), Dr. Albert G. H. Dietz, en collaboration avec Monsanto chemical corporation et le Massachussets Institute of Technology. Érigée en Californie sur le domaine de Disneyland, en 1967, cette expérimentation vise à étudier les capacités maximales du plastique. Des structures en U, disposées en portafaux, se rejoignent autour d’une colonne centrale. Elles sont réalisées en résine de polyester (1).
Comme le dit Jean Manneval : « L’évolution n’est pas à juger, à accepter ou à refuser. Elle se fait, elle s’implante, elle s’impose. » (5). Et en effet, le plastique ne tarde pas à s’imposer globalement.
Maison tout en plastique de I. Schein, Y. Magnant et R.A. Coulon (1956) - © Magazine "Elle" n°530 et n°531 - Février 1956. // Monsanto, house for the future de R. Hamilton, M. Goody, Dr. A. G. H. Dietz (1967) - © iconichouses.org
Une effervescence mondiale
La deuxième moitié du XXème siècle connaît d’autres facteurs qui vont encourager davantage la diversification des plastiques et l’optimisation de leur rendement. Il s’agit notamment de la troisième révolution industrielle, par l’introduction du digital dans les chaînes de production ou encore la course à l’espace qui anime les deux blocs du monde occidental. Une fois de plus, ce sera l’occasion pour l’industrie de se familiariser totalement avec le plastique. Ainsi, nous entrons dans l’âge d’or des plastiques et de la société de consommation : les années 60 et 70.
Jusqu’à présent, le plastique est réservé aux domaines de l’ingénierie avec de rares apparitions auprès des particuliers. Cependant, les 30 glorieuses vont sonner l’entrée en scène du plastique aux yeux de tous. Désormais, vous vous habillerez plastique avec Courrèges ou bien Paco Rabanne. Vous vous déplacerez plastique en TGV. Vous mangerez plastique dans des Tupperware®. Vous vivrez plastique jusqu’à vous demander comment vous avez pu déjà vivre sans. Dès les années 50, le plastique s’investit dans les foyers par les arts de la table. Il présente tous les atouts. Il est vendu comme incassable, léger et plus facile d’entretien que l’argenterie de l’arrière-grand-mère.
Les années 1960 : mode (Paco Rabanne, Courrèges), alimentation (Tupperware), transport (Train TGV)…
Son essor embrasse le vent de nouveauté, la frénésie d’innovation qui souffle sur la société. La consommation est frénétique et goulue après des années mornes de privation. Aucune ombre ne paraît au tableau. Une période qui veut être insouciante à tout prix, une vindicative de l’allégresse, comme un pied de nez aux souffrances passées.
« I love Los Angeles. I love Hollywood. They’re beautiful. Everybody’s plastic - but I love plastic. I want to be plastic.
(J’aime Los Angeles. J’aime Hollywood. C’est magnifique. Tout le monde est plastique - mais j’adore le plastique. Je veux être plastique.) »
- Andy Warhol, artiste (2)
Le monde connaît une croissance sans précédent. Rien ne semble avoir de limites. Le futur semble à portée de main. L’industrie tourne à plein régime et ne semble être faite que de bonnes intentions. Les conséquences de ces exploitations frénétiques ne sont pas connues et donc ne sont pas un problème. L’industrie a insufflé ce renouveau, d’où la fascination de certains pour le secteur.
« The reason I’m painting this way is because I want to be a machine. Whatever I do, and do machine-like, is because it is what I want to do. I think it would be terrific if everybody was alike.
(La raison pour laquelle je peins de cette manière est parce que je veux être une machine. Tout ce que je fais, et que je fais à la façon d’une machine, est parce que je veux le faire ainsi. Je pense que ce serait génial si tout le monde était pareil.) »
- Andy Warhol, artiste (2)
Un nouvel éventail de possibilités
Le plastique, par ses différentes formes, offre des rendus exceptionnels qui vont être énormément utilisés dans le domaine artistique et plus précisément du design d’objet. Ces concepteurs vont approfondir le potentiel du plastique, un matériau pouvant se plier sans d’apparentes limites à leur imagination.
« Les matières sont choisies par l’artiste non seulement pour la commodité du travail ou bien, dans la mesure où l’art sert aux besoins de la vis, pour la bonté de leur usage, mais aussi parce qu’elles se prêtent à un traitement particulier, parce qu’elles donnent certains effets. »
- Henri Focillon, historien de l’art (3)
Expansion de César (polyuréthane expansé - 1970) - © Centre Pompidou // Nana vase de Niki de St Phalle (résine polyester - 1984) - © artcurial // Colonne de Jean-Claude Farhi (PMMA - 1970) - © Galerie Patrick Gutknecht // Linear Construction No. 2 de Naum Gabo (fils de nylon - 1970) - © Nina & Graham Williams / Tate
Certains artistes se jouent davantage de la transparence que propose le Plexiglas ou le celluloïd. Alors que d’autres se laissent séduire par les formes organiques pleines que propose le polyuréthane ou bien la résine époxy. Ici, la matière offre des couleurs chatoyantes, présentes dans la masse et non simplement en surface, comme on pouvait l’expérimenter avec la peinture.
« On sent tout de suite, écrivait Bachelard dans La terre et les rêveries de repos, que la couleur est une séduction de la surface, alors que la teinture est une vérité des profondeurs. » - Henri Focillon, historien de l’art (3) La matière parle d’elle-même comme dans les Expansions de César. Ces oeuvres consistent en un déversement de polyuréthane. « Les formes organiquement libres dont le développement dans l’espace est le pur et simple résultat d’un processus chimique conduit à terme. » - Pierre Restany, critique d’art (2)
Un vent de liberté et d’affranchissement des règles traditionnelles emporte les concepteurs. On remarque également une attirance pour la modernité et les avancées technologiques que l’on veut intégrer dans ce nouveau mode de vie. Le plastique est lisse, léger, malléable. Des couleurs bigarrées et éphémères s’abhorrent partout, permises par le nuancier infini que propose le plastique.
Ce nouveau quotidien passe par un nouveau mobilier. Dès les années 40, des designers tels que Charles Eames ou Eero Saarinen vont développer des prototypes, pour dompter ce nouveau matériau. Puis au fil du temps, le défi sera celui de l’industrialisation. Concevoir d’une seule pièce moulée, à l’image de la chaise Cantilever de Verner Panton en 1960. On cherche à rendre chaque design plus léger, plus pratique, empilable. On veut le rendre populaire. Les plus prolifiques en la matière seront sans doute les italiens. Faisant face à une crise du secteur de la construction dans les années 50, les architectes italiens se tourneront vers ce secteur en plein essor qu’est le design d’objet. En effet, la société de consommation encourage l’achat de biens matériels. Un engouement qui ira parfois au-delà de la fonctionnalité, en proposant des objets dont l’usage n’est pas évident au premier coup d’oeil. On parle d’« anti-design » ou de « radical-design ». L’exemple de la chaise Pratone de Gufram démontre bel et bien ce vent de liberté incité par les possibilités techniques des matières plastiques. Le marché italien saura faire collaborer en lien étroit designers et usines, en utilisant largement la technique du moulage par injection. Ce savoir-faire sera notamment cristallisé par l’exposition présentée au Moma de New York, en 1972, intitulée, « Italie : le nouveau paysage domestique » (2).
Chaise Cantilever de V. Panton (1960) - © panomo.fr // Chaise DAR de C. Eames (1948) - © myareadesign.com // Chaise Tulip de E. Saarinen (1956) - © privatefloor.com // Lampes Pillola Lamp de C. Casati et C. Emanuele Ponzio (1968) - © tajan.com // Chaise Blow de P. Lomazzi, D. D’Urbino et J. De Pas - © Moma // Chaise Pratone de Ceretti, Rosso, De Rosso - © du-grand-art.fr // Desserte Bobby de J. Colombo (1970) - © madeindesign.com
La matière plastique est passée par diverses épreuves avant de nous paraître aussi évidente. Comme beaucoup d’autres matières avant elle, elle est d’abord considérée comme rare et précieuse. Son usage est plutôt désintéressé ou du moins davantage à caractère expérimental. On teste et on voit ce que ça donne. Puis, un enchaînement d’évènement politiques, économiques ou encore historiques vont favoriser son exploitation. L’industriel trouve un intérêt chez le laborantin. Il lui confère donc sa force de frappe pour développer de nouveaux produits. Ce développement atteint son paroxysme et transmet par la même occasion son enthousiasme à toute la société. Tout le monde voit un intérêt dans ce matériau miracle, y compris le domaine de l’architecture. Les architectes sont enthousiastes à l’idée de contribuer à une nouvelle ère technologique du bâtiment. Mais ça, nous le verrons dans la deuxième partie de cet article.
À suivre
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À suivre -
Discothèque de l’Hôtel Griffonne par Cesare Casati et Emmanuele Ponzio (Bolzano - 1968) - Mobilier en PMMA et mousse de PUR recouverte de tissus - © Revue Domus, octobre 1970, n°491
Sources
(1) Faircloth B. (2015). Plastics now: on architecture's relationship to a continuously emerging material. Routledge, Taylor & Francis Group.
(2) Decelle P., Hennebert D., Jaumotte A., Loze P. (1994) L’utopie du tout plastique. Norma éd.
(3) Namur G., Cité des Sciences et de l'Industrie de la Villette (1986). Les années plastiques. Editions Alternatives.
(4) Chassanieux C., Lefebvre H., Pascual S. (2008). L'indispensable en polymères. Bréal
(5) Audouin J. (1969). Numéro hors-série de la revue Plastiques bâtiment. Plastiques et architectures. Éditions G.M. Perrin.