#4 L’évidence (1/2)
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À la base, je voulais écrire un article sur Álvaro Siza. En creusant un peu, je me suis rapidement rendue compte qu’on ne pouvait parler de son travail et celui de ses pairs, sans évoquer l’histoire de leur pays. Siza est un architecte portugais, aujourd’hui célèbre internationalement. Il est vrai que le Portugal connaît une culture architecturale forte. Ce pays de 10 millions d’habitants, à peu près l’équivalent de la région Île-de-France, est reconnu pour des bâtiments et architectes emblématiques. Aucun étudiant de première année ne peut passer à côté de leurs références. Leurs volumes géométriques simples, à la blancheur éclatante, sont reconnaissables d’entre tous. La faculté d’architecture de Porto présente un rayonnement international pour sa pédagogie. Consciente de cette influence, je me suis étonnée de découvrir les traces d’un pays autrefois refermé sur lui-même. Comment le Portugal a renversé la vapeur ?
Avant de connaître cet attrait international, le Portugal a été marqué par un contexte politique fort au XXe siècle. Au courant des années 20, le pays va connaître une période mouvementée en raison d’une crise économique majeure. Une situation qui se retrouve chez d’autres de leurs voisins européens. La Première guerre mondiale a échaudé les esprits de tout le monde. Les nations ont dû continuer à vivre dans les stigmates d’après-guerre. La population n’en peut plus et le fait savoir en se rattachant à des idéaux politiques conservateurs. Les discours utopiques et rassurants de personnages charismatiques les laissent présager un changement radical et salvateur. En Italie, Mussolini arrive au pouvoir en 1922. En Allemagne, Hitler en 1933. En Espagne, Franco en 1938. Le phénomène prend de l’ampleur, doucement mais sûrement. Dans ce contexte préoccupant, le général Óscar Carmona arrive au pouvoir, en 1928. Il nomme un certain Antonio de Oliveira Salazar à ses côtés, un professeur d’économie de la prestigieuse université de Coimbra. Il est chargé de remettre à flot le pays et va instaurer de profondes réformes pour y arriver. Salazar fait appel à la nostalgie des populations et évoque la gloire d’antan qu’a connu le Portugal. (Ça fait un peu Make America great again cette histoire…) Il est vrai que la période faste de la puissance maritime et des conquêtes portugaises semble quelque peu désargenté à ce moment-là. Salazar ne se cache pas de vouloir retrouver cette grandeur coloniale (1). La classe bourgeoise se rallie volontiers à ses déclarations, désireuse de retrouver une stabilité économique et faire fructifier ses affaires. Contrairement à eux, une classe ouvrière politisée, proche d’un militantisme communisme, réalise que cela ne présage rien de bon (3).
En 1933, Salazar établit l’Estado novo, en réponse à la crise financière de 1929, dans le but de redresser drastiquement la situation. Des règles fortes se mettent en place, ce qui va faire entrer le pays dans une période de régime autoritaire. Tous les opposants politiques n’ont aucun droit d’exprimer leurs opinions, surtout quand il s’agit de critiquer le pouvoir en place. Les grèves sont déclarées illégales. « Tout pour la Nation. Rien contre la Nation. » (3) Le gouvernement établit un rapprochement avec l’Église catholique, l’armée et le patronat. Pour vous la faire simple, voici les 5 piliers de l’Estado Novo : Dieu, famille, travail, patrie, autorité (2). Ce n’est pas sans rappeler le slogan du régime de Vichy (travail, famille, patrie). Pour vous laisser sur une dernière note réjouissante, voici une citation de la constitution de 1933 : « commande qui peut, obéit qui doit » (1). Sacré ambiance.
Sous le régime salazariste, la culture est perçue de façon très manichéenne. Il y a la culture mise en avant par le parti et l’autre culture, celle qui n’est pas régie par ses idéaux. On parle d’une culture officielle ou intégrée en opposition à une culture dégénérée. Cette dernière n’est pas tolérée (3). Elle nuit à l’image unitaire du parti en place. En effet, la culture dégénérée permet de véhiculer des idées autres que celles contrôlées par la Nation. C’est-à-dire cette culture officielle qui n’est ni plus ni moins que de la propagande. Tout devient un moyen d’insuffler à la population les idéaux du Parti, y compris l’architecture. Et oui. L’architecture a été orchestrée comme un véritable instrument de propagande. En effet, elle est un art qui s’offre à tous. Il suffit de marcher dans la rue pour la rencontrer. Les bâtiments institutionnels et autres monuments permettent de marquer une ville et ses habitants sur le long terme. Des travaux de grandes envergures sont envisagés pour ancrer le Salazarisme dans les rues portugaises (hôpitaux, écoles, universités, palais de justice…). La place Areeiros à Lisbonne est un parfait exemple de ce phénomène. Des bâtiments au style très codifié longe les larges avenues, dans une symétrie intransigeante. « On considère cette place comme le premier projet de style portuguais suave. » (7). Ce style nationaliste va d’ailleurs s’exporter dans les colonies portugaises, ce qui contribuera au rayonnement des idéaux de Salazar au-delà des frontières du pays (4).
Exemples de bâtiments au style portugais suave (dont la place Areeiros) - © Getlisbon
Mais, que cherche à mettre en avant ce nouveau style ? On rappelle que Salazar veut revenir à la prospérité d’antan. Il tente de retrouver un imaginaire traditionnel, voire rural. L’intention est de revenir aux racines qui constituent l’identité nationale. Pour cela, il faut affirmer quelles sont ses caractéristiques, et donc les définir. L’architecte Raul Lino va ainsi théoriser et identifier ce qu’est la maison portugaise. Il fait un inventaire de ce qui paraissait être récurrent ou typique, dans l’architecture portugaise et classique : « pierres rustiques, toitures en tuiles, pinacles, pilastres, balcons » (4). Malgré toute cette attention pour le vernaculaire, la structure porteuse des bâtiments n’est pas réalisée avec des techniques ou matériaux locaux, mais bien du béton. Cette structure ordinaire est ensuite habillée d’éléments jugés caractéristiques. Des modénatures qui reflètent simplement un effet de pastiche finalement. Cette approche est contraire à l’architecture moderne actuellement en vogue, qui se débarrasse des couches inutiles de la construction. Elle veut montrer l’architecture dans son essence la plus sommaire. On ne fait pas un pilastre (pilier encastré dans un mur) s’il ne sert pas à porter. On montre le poteau à nu. Un besoin de transparence certes, mais également influencé par une nécessité économique. Après tout moins de matériaux, ça fait moins de frais. Ainsi, s’énonce l’une des réprimandes faites au style portugais suave. Mais, elle est loin d’être la seule.
Monument des découvertes, Lisbonne (1940) par C.Telmo et L. de Almeida - © Mário Novais
En effet, des groupements d’architectes émergent, tels que l’ODAM (Organisation Des Architectes Modernes) de Porto et l’ICAT (Initiatives culturelles art et techniques) de Lisbonne (7). Leurs membres demandent une réforme radicale de l’image de l’architecture. Ils ne souhaitent plus que cette dernière soit utilisée à des fins politiques, mais seulement sociales. Le Portugal connaît une crise de logement sans précédent dû à la fois à l’industrialisation, l’exode rural massif, et bien entendu les deux guerres mondiales… Ce cruel manque de logement se traduit par un nombre croissant d’habitations insalubres, entraînant un manque d'hygiène et ainsi de maladies contagieuses. Suite à cette mise en alerte, l’Estado Novo va petit à petit se concentrer sur les questions de logement. Leur choix est de développer des habitations individuelles et non collectives, comme la plupart de leurs voisins européens. Grandement inspirés par les cités-jardins d’Howard, ces maisons économiques s’adressent aux néo-urbains en quête de travail et d’un meilleur niveau de vie. Alors petit topo sur ce concept :
« Ce dernier proposait une nouvelle forme d’urbanisme alliant les atouts de la ruralité et de l’urbanité. Dans le concept de cité jardin, la communauté est implantée sur un plan radio-centrique avec au centre un jardin accueillant les édifices publics. Les logements y sont exclusivement individuels et avec jardins. Toujours dans la théorie d’Howard, les maisons se situent sur la ceinture périphérique et sont desservies par un réseau de chemin de fer assurant l’accès facile aux manufactures, entrepôts et marchés. Bien que ce concept des cités jardins soit cité comme référence dans les projets de maisons économiques, leur influence reste à modérer. En effet, il s’agit certes de maisons avec jardin, mais on n’y retrouve pas l’idée de communauté quasi-indépendante dans la ville, ni la desserte des voies de communications comme le rail. » (7)
Principe fondateur des cités-jardins : les 3 aimants (ville, campagne, ville-campagne)
D’autre part, l’attribution des logements était régie par l’État. On prend votre dossier. On examine votre âge, revenu, profession, situation maritale. Et en fonction des cases que vous avez cochées, on vous donne les clés de votre futur cocon. « C’est la hiérarchie sociale imposée par le gouvernement qui transparait à travers l’organisation de ces quartiers et l’attribution des logements. » (7) Néanmoins, le logement collectif est par la suite développé afin de proposer une solution aux familles plus modestes, ne pouvant pas se permettre de prétendre à une maison économique, en accession à la propriété. Une grande partie du parc immobilier fut également construit par des promoteurs immobiliers et non par l’Etat, qui n’avait pas la capacité, ni même l’envie, de traiter cette crise. « Pour conclure sur la politique du logement au Portugal pendant l’Estado Novo, nous pouvons souligner la constance de la pensée idéologique du régime. En effet, quelque soit le type de logements construits, la place de la famille comme cellule principale de la société conservatrice portugaise est omniprésente. Que ce soit avec des maisons individuelles ou dans des petits collectifs destinés aux familles. » (7)
De plus, certaines des prérogatives prises par l’État à cette époque ont toujours des conséquences sur l’immobilier actuel, telle que « (…) la loi n°2030 datant de 1948. Cette loi provoqua le gel des loyers à Lisbonne et Porto. Cela amena à une diminution considérable du marché locatif et pose encore aujourd’hui des problèmes dans certains bâtiments du centre ancien où des baux anciens empêchent les propriétaires de louer à des prix suffisamment élevés pour permettre l’entretien du bâtiment. Ainsi, cette mesure amena progressivement à un déficit de logement dans le centre-ville et l’on en voit encore aujourd’hui les séquelles à Lisbonne et Porto où de nombreux bâtiments délabrés commencent tout juste à être massivement rénovés et où la population locale vit principalement dans les quartiers périphériques du centre ancien. » (7). Les traces du Salazarisme se répercute donc bien des années après sa dissolution. D’ailleurs, comment se porte le régime suite à une quarantaine d’années au pouvoir ?
Au début des années 70, la rupture s’annonce. Dans un contexte plus large, le vieux continent rend peu à peu indépendant les territoires autrefois colonisés. Pour donner un repère historique, la France se désolidarise de ses dernières colonies en 1960, à l’exception de l’Algérie où il faudra attendre 1962. Quant aux britanniques, ils font progressivement de même au courant des années 50. Cette vague d’émancipation est mondiale. Le Portugal se retrouve finalement comme la dernière puissance coloniale. De ce fait, un mouvement de protestation naît depuis le continent africain. Des groupes de révolte, à tendance marxiste, s’en prennent aux représentants de l’armée portugaise et aux populations expatriées. Certains pays, comme les États-Unis vont eux-mêmes critiquer la situation en prenant le parti des pays colonisés. Rapidement, l’armée va se retourner contre la métropole portugaise et fomente un coup d’état. Ainsi, le 25 avril 1974, des chars se dirigent vers Lisbonne. Le régime Salazariste n’est plus. S’ensuit une période d’instabilité politique pour définir les nouvelles conditions du régime portugais (5). Le droit à l’auto-détermination des colonies est reconnu. La constitution portugaise, toujours en vigueur aujourd’hui, est finalement adoptée en 1976 (6).
L’architecture quant à elle est également bouleversée par les évènements. Cette dernière se retrouve libérée d’une doctrine conservatrice. Jusqu’ici elle était considérée comme une pratique bourgeoise, car liée au pouvoir en place. Elle était perçue comme contre-révolutionnaire. Les architectes contemporains s’évertuent donc à renouveler cette image. Et pour la changer en profondeur, il faut changer son enseignement en vue des futures générations. L’école d’architecture de Porto revoit tout son programme. Les enjeux pédagogiques se concentrent sur des questions sociales et sont fortement influencées par l’idéologie marxiste. De 1970 à 1973, un régime expérimental est mis en place. Une pédagogie très libre, jusqu’à même être jugée trop libre, cherchait à créer le débat entre professeurs et étudiants. « Aujourd'hui, les diplomates prendraient plutôt le pas sur les hommes d'action. L'époque serait aux tables rondes et à la détente. » (Les Tontons Flingueurs <3) Débarrassés de notion d’évaluation ou bien même d’année académique, seules les thématiques abordées priment (8). Une discipline nommée Architecture analytique eut un rôle important dans cette nouvelle méthode d’enseignement. Les étudiants devaient se rendre dans des quartiers populaires de la ville afin de réaliser des relevés précis des habitations. Au-delà de se familiariser avec les méthodes de représentation et les techniques constructives traditionnelles, l’intention pédagogique était plus profonde. « En recourant à la représentation du mobilier et des objets quotidiens, ces relevés apportaient naturellement un regard anthropologique sur la condition sociale des habitants de ces quartiers. Pour les étudiants en architecture (très souvent issus de familles aisées), l’exigence de cet exercice leur demandait dans un premier temps de conquérir la confiance des habitants pour que ces derniers les laissent entrer chez eux. C’est ainsi qu’apparurent quelques amitiés inespérées capables de surmonter les différences sociales. » (8). Cependant le cours ne rencontre pas un grand succès, en raison de son caractère purement analytique. En effet, les étudiants sont davantage intéressés par les questions politiques que leur coup de crayon.
En parallèle, une opération nommée SAAL est lancé par Nuno Portas, en lien avec les étudiants. La crise du logement est toujours d’actualité dans le pays, en raison notamment de la décolonisation. En effet, de nombreuses personnes sont contraintes de rentrer en métropole. Cette mobilisation en faveur du logement social cherchait à trouver différentes solutions architecturales, plutôt que de fixer des règles universelles comme le CIAM (congrès international d’architecture moderne) avait pu le faire. L’intention est de composer avec ce qui est déjà là. Contrairement à un mouvement moderne habitué à créer à partir d’une tabula rasa, c’est-à-dire un site vierge, l’idée est de composer avec l’hétérogénéité. La ville en elle-même est hétérogène. Elle est la résultante de siècles d’aménagement, créant un ensemble singulier et riche. Enseignants et étudiants ne trouvaient pas opportun de répondre de manière vindicative et uniforme à la question. Il faut préserver, rénover et ajouter à l’existant (9). Plusieurs projets sont amorcés, comme le quartier de Bouça ou de São Victor, conçu notamment par Álvaro Siza (le voilà ;) ). Malgré toutes ces bonnes intentions, le projet est critiqué par d’autres enseignants. Selon eux, cette conception tend « dans une certaine mesure, à reproduire la typologie de l’habitation bourgeoise, c’est-à-dire la maison individuelle en propriété privée. (…) De son point de vue, avant même de construire de nouvelles habitations, il faudrait occuper les logements vacants. » (8). Cependant, faute de moyens financiers, les projets de ces quartiers ne sont réalisés que partiellement. Ils seront finalisés des années plus tard.
Projets développés par SAAL (Quartier de Bouça, Casal das Figueiras, Quinta das Fonsecas et São Victor) - © Fernando Guerra ; DMF Daniel Malhão ; Marcia ; Archive Moma New York
Enfin, les problématiques écologiques commencent à s’immiscer dans les consciences. Entre 1975 et 1977, Jacinto Rodrigues avec son cours Théorie et Pratique de Recherche II, incite les étudiants à s’intéresser à des pratiques alternatives et à eux-mêmes les expérimenter. « La composante pratique du cours encourageait aussi à la construction de fours solaires, d’éoliennes, et, tout aussi important, à l’organisation d’un potager communautaire qui était supposé fournir ce qui fut la première cantine macrobiotique et végétarienne de Porto. » (8). Pour conclure, une vision utopique infuse l’enseignement architectural de l’école, suite à des décennies de bridage.
Après avoir brossé près de 60 ans d’histoire, nous avons pu constater que l’architecture ne peut s’expliquer sans se rattacher à un contexte qu’il soit politique, économique ou encore social. Les différents mouvements architecturaux se sont construits en réaction aux idéaux de ceux qui les précédent. Parti d’une situation fragile, le pays se referme pensant se renforcer. Petit à petit, cela mène à une action trop bridée, se détachant d’un contexte international. La révolution libère ce carcan. Elle ouvre la voie à une création effrénée et consciente de son temps. Le repli se converti en rayonnement. En 1986, le Portugal devient officiellement un état membre de l’Union Européenne. Ce statut lui permet notamment d’accéder à des subventions qui financeront des projets modernistes de grande envergure, tel que l’actuel bâtiment de la FAUP, l’école d’architecture de Porto (10). De cette manière, ces oeuvres se font connaître petit à petit à travers les frontières de la péninsule ibérique. Une qualité architecturale se dégage clairement de ces réalisations. On retrouve des références contemporaines, mais sans perdre une certaine spécificité. Ce n’est pas juste un pastiche des principes du mouvement moderne. Il y a autre chose, d’autres intentions qui viennent enrichir le propos. Quelles sont-elles, me demanderez-vous ? Nous en parlerons dans la suite dans la partie 2 de cet article… (petit teasing ;) )
À suivre...
À suivre...
Sources
(1) Site internet : « Estado Novo (Portugal) » - Wikipédia (consulté le 18 mars 2022)
(2) Discours du 28 mai 1936 de Salazar, à l’occasion du dixième anniversaire du coup d’état qui a mis fin à la Première République, via Wikipédia (1)
(3) Article : Reis Torgal Luís, « L'État Nouveau portugais. Esquisse d'interprétation », Pôle Sud, 2005/1 (n° 22), p. 39-48. DOI : 10.3917/psud.022.0039. URL : https://www.cairn.info/revue-pole-sud-2005-1-page-39.htm
(4) Site internet : « Style portugais suave » - Wikipédia (consulté le 18 mars 2022)
(5) Émission de radio : « Le Portugal (2/2) : la révolution des oeillets » - Rendez-vous avec X, diffusé sur France Inter le 18/10/2004
(6) Site internet : « Révolution des oeillets » - Wikipédia (consulté le 21 mars 2022)
(7) Mémoire de séminaire : Margot Lacoste. « Architecture et dictature: la politique du logement sous la dictature de l’État nouveau au Portugal. » Architecture, aménagement de l’espace. 2016. dumas-01804190
(8) Article de colloque : « Les années 1968 et la formation des architectes. Perspectives internationales. » , par Pedro Bandeira (Université de Minho) Cité de l’architecture - Paris, 15 et 16/05/2018
(9) Livre : « Matéria-Prima: Um Olhar sobre o Arquivo de Álvaro Siza », Suzanne Cotter et André Tavares, Fundação de Serralves, 2017 - ISBN 9789727393558
(10) Article : « Moderne et épurée, l'architecture portugaise est-elle devenue une référence ? » par Luc Le Chatelier - Télérama, publié le 18/04/16 et mis à jour le 08/12/20 < https://www.telerama.fr/sortir/moderne-et-epuree-l-architecture-portugaise-est-elle-devenue-une-reference,141116.php > (consulté le 18 mars 2022).